William Leymergie, pas le choix... | 10 avril 2009

... à Los Angelès, marcher des heures à Los Angelès, et marcher dans Los Angelès. Sont cons, et sont devenus pauvres... J'ai dormi, pas bien, mais j'ai dormi. J'avais le goût du vin et de la bière en me réveillant. Y'avait William Leymergie et une chroniqueuse blonde qui disait des conneries. Je me disais "putain je suis sûr qu'il la viole dans les vestiaires de France 2".
A France 2, depuis qu'ils ont moins de pubs, je suis sûr qu'ils ont des vestiaires sales. Je suis sûr qu'ils ont des vestiaires, comme avant le match.
William Leymergie traine la bite à l'air, enfile son futal comme on enfile le short. Il briefe son équipe. C'est surtout des salopes pas trop connes. Mecs, meufs, c'est des salopes qui aiment faire des chroniques merdiques pour 2000 euros net par mois et le droit de becqueter gratos à la cantoche de France 2.
Ils mangent à la cantoche avec des uniformes bleus qui font un peu pyjama comme les taulards aux Etats-Unis. Ils ont des plateaux repas avec des creux pour chaque élément: un pour la purée, un autre pour les asperges, un autre pour le bout de viande en sauce marron...
Dans le vestiaire de France 2, William gueule:
"On s'motive hein?! On est les meilleurs!"
Ils sont chauds pour faire des chroniques pourris à des gens qui ont la gueule dans le cul à 7 h 00. ça m'intéresse aussi parce que j'ai la gueule dans le cul, que je me rappelle plus comment, quand et pourquoi je me suis endormi au milieu de la nuit, comme un crevard, tout habillé...
Les seins de la chroniqueuses... La douche. Touche.
Andy Vérol

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