Gardien de nuit d’une maison de détention désaffectée. Chronique du quotidien pathétique





Chronique du quotidien pathétique : il fallait bien manger, payer les factures comme on dit. J’ai accepté ce poste étrange : gardien de nuit d’une maison de détention désaffectée. Je surveillais des cellules et des couloirs vides, je rodais parmi les fantômes discrets…

Léonel Houssam

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