Il est impossible d'écrire avec un nom



Chers lecteurs, Blogger, l'outil Gogole qui régit mon blog désormais privé limite le nombre de lecteurs à 100 personnes. Ce seuil est atteint. Tous mes textes en ligne écrits depuis une douzaine d'années ne sont donc accessibles qu'à ces personnes.
Pour mes publications présentes et à venir, ainsi que pour celles de Yentel, photographe mais aussi ma moitié dans la vie, elles seront toujours lisibles sur internet mais sous une autre forme, un autre nom, sans que nos deux noms n'y soient rattachés. Vous aurez l'occasion de le découvrir au fil d'invitations à cliquer sur des liens, une page Facebook, un tweet ou simplement par hasard. 
Internet et les réseaux sociaux, le 2.0 comme on disait, ont l’avantage pour des auteurs, artistes indépendants comme ma femme et moi, de pouvoir diffuser leurs créations et permettre un contact direct avec les lecteurs, spectateurs, regardeurs… Mais il y a les détracteurs. Pour beaucoup, ils sont simplement désintéressés ou critiques. Rien de problématique à ça. Mais Internet est aussi un terrain d’expression de nuisibles, de personnes profondément perturbées intellectuellement, psychiquement, moralement. Il n’y a pas grand-chose à faire pour s’en préserver. J’écris des choses assez noires, parfois revendicatives, peut-être vindicatives, mais sans cesse dans l’optique de la création littéraire, la production d’idées, et autres. Je ne vais pas m’étendre une fois de plus sur la question.

Quoiqu’il en soit, c’est l’occasion pour Yentel et moi de nous lancer sur autre chose, dans la continuité de ce que nous faisons depuis six ans.
Notre vie privée, entachée par des névrotiques qui ne nous ont jamais rencontrés physiquement (sauf l’un d’eux durant 30 minutes de mon existence et encore dans une foule) ni même téléphoné, et qui ont fantasmé pathétiquement une relation avec ce qu’ils considéraient comme « le grand Andy Vérol », nous appartient, à Yentel, à moi, à nos proches. Cette vie privée n’est ni le joujou, ni le punching-ball, ni l’objet de fantasmes et encore moins un réceptacle vengeur d’amoureux psychotiques éconduits. Les accusations portées « relèvent des Assises » selon les propres termes d’un des deux zozos en question, et PIRE (ah ah !), ils détiennent les preuves et les témoignages nécessaires ! Je demande donc à ce qu’ils portent plainte immédiatement auprès du commissariat le plus proche, qu’un juge et que la police judiciaire m’invitent à m’expliquer sur ces crimes et qu’ils me confrontent à ces preuves, ces témoignages. Voilà le niveau de ces personnes complètement azimutées par l’abus de médocs, de solitude, de psychoses et de stupéfiants…
A bientôt donc, quelque part sur Internet mais aussi pour des nouveautés littéraires (papier et numériques) à paraître durant les années à venir… Je ne vous emmerde plus avec cette affaire…

Commentaires

Articles les plus consultés