Un vendeur de tuyauterie du nom de Trump



12 septembre 1998: après avoir entendu l'interview d'un vendeur de tuyauterie du nom de Trump pour les immeubles immondes de New York, je place un vinyle de Kraftwerk sur ma platine. Le trait de Lune qui pénètre dans le studio par l'unique fenêtre claque en biais sur les phalanges vibrantes de Djibril. Sa main puissante branle son membre dont le gland palpite à vue d’œil. La salope brune aux boutons sur le cul, vulve exponentielle luisante comme un missile sol/air hurle dans l'écran bombé de ma petite télé. Je fume clope sur clope en avalant des gorgées tièdes de mousseux éventé. 
Quand il éjacule si blanc sur son gland noir, il me fait penser à mille anges empalés en ligne. Je rampe jusqu'au minifrigo pour y choper une canette, le but étant de ralentir le temps qui m'obligerait à m'empiffrer de coke archi-coupée.

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