Migration vers le réseau Diaspora



En moins de 3 semaines, je regroupe plus de 500 contacts sur le réseau alternatif Diaspora.
Avec un peu de pratique, de curiosité, ce réseau s'avère bien plus performant, intelligent, libre et convivial que Facebook mais aussi plus actif et vivant. Bien sûr, si votre but est de raconter votre petite vie et montrer votre mignon petit chaton, vous n'avez pas grand-chose à faire là-bas. L'avantage de ce réseau, c'est qu'il appartient à ses utilisateurs. Pas de Zuckerberg et sa charte pro-espionnage et vendant jusqu'au cadavre de ses utilisateurs au plus offrant. Il est décentralisé (c'est une confédération de pods autonomes les uns des autres. Me concernant je suis sur les pods Framasphere et JoinDiaspora), non contrôlé, financé par ses donateurs. Mes données ne sont pas vendues contre mon gré pas plus qu'elles ne sont transmises à des organisations d'état étranger (NSA, CIA pour ne citer que les américains) auxquels je n'ai pas de comptes à rendre.
L'intimité, l'identité et la propriété de ses propres faits, gestes et paroles n'ont pas à être intégralement livrés à une multinationale asservie au fric et au pouvoir corrompu des firmes et des états.
J'écrirai prochainement un article sur le réseau Diaspora. J'ai encore besoin de le pratiquer pour pouvoir rédiger quelque chose d'assez percutant.
Comme je le disais au directeur de publication du magazine pour lequel j'écris depuis quelques années, je compte faire en sorte que moins de 50% de mes réseaux sur la toile ne soient constitués par Facebook, Twitter ou Google+. Cela va prendre un peu de temps, mais ce sera jouable.
Je suis auteur, plutôt libre, indépendant et résolu à écrire encore et toujours sur le ton et dans le sens que mon esprit a choisi et non en fonction des pressions visibles et invisibles de la doxa de nos élites ultralibérales mais aussi du conformisme populaire qui peuple les réseaux mainstream.

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